Mamadou Berté nommé nouveau directeur général du Conseil coton anacarde
Le conseil d’administration du Conseil coton anacarde a désigné, ce jeudi 11 juillet, Mamadou Berté comme nouveau directeur général lors d'une réunion extraordinaire.
Le conseil d’administration du Conseil coton anacarde a désigné, ce jeudi 11 juillet, Mamadou Berté comme nouveau directeur général lors d'une réunion extraordinaire.
La cérémonie de lancement officiel de la campagne agricole 2024-2025 a eu lieu le vendredi 19 avril 2024 à la ferme Ahozoungou du producteur Sansan Worou Djoua dans le village Pede à Kandi. Lors de ce lancement, le ministre de l’Agriculture, de l’Élevage et de la Pêche a annoncé...
Atteindre 200 000 tonnes de coton-graines en 2022. En espérant booster la filière, les autorités togolaises ont permis, en 2020, au Singapourien Olam, qui détenait jusque-là 60 % du capital, de racheter complètement la Nouvelle Société cotonnière du Togo. Trois ans après l’acquisition, les promesses ne sont pas au rendez-vous. Aussi, certains aléas se sont invités chez les cotonculteurs, qui tentent de se relancer malgré tout. Entretien avec Koussouwè Kouroufei, président de la Fédération nationale des groupements des producteurs de coton.
Pour la campagne cotonnière 2023-2024, le président de la transition, colonel Assimi Goïta, a fixé le prix du coton à 295 FCFA, contre 285 FCFA pour la campagne écoulée, soit une augmentation de 10 FCFA. À l’annonce de la nouvelle, les producteurs de coton de la capitale de l’or blanc, Koutiala, ont applaudi cette décision encourageante des autorités de la transition.
La campagne cotonnière 2022-2023 n’a pas répondu aux attentes, avec une production en baisse de 29 %. Les acteurs ont pointé du doigt l’embargo sous-régional qui a privé le pays de s’approvisionner aux différents ports et l’invasion des champs par des jassidés.
La diminution de la fertilité des sols agricoles en Afrique subsaharienne est reconnue comme l’un des principaux facteurs limitant considérablement la productivité des cultures. Selon l’International Fertilizer Association (IFA), le prélèvement annuel d’éléments nutritifs primaires des sols cultivés...
En achetant 51 % des parts de la Nouvelle société cotonnière du Togo, le géant agroalimentaire singapourien met la main sur la première culture de rente de ce pays d’Afrique de l’Ouest.
Après une période de fortes turbulences, la filière cotonnière burkinabée reprend du poil de la bête. Après avoir abandonné le coton OGM, elle met le cap sur de nouveau challenges, et notamment sur la transformation.
La Société internationale islamique de financement du commerce, la Société Générale, la Société internationale de financement et BNP Paribas ont accordé un total de prêts de 172 millions d’euros au Burkina Faso. Objectif : booster une production essentielle pour l’économie du pays.
C’est Ahmed Bachir Diop, le directeur de la compagnie qui l’a annoncé fin mai : la Société de développement des fibres du textile (Sodefitex) veut emblaver 30 000 hectares de coton cette saison, soit plus que l’année dernière. Un bon point car la dernière campagne avait vu la récolte chuter à...