La société Trafrule a inauguré une importante usine de transformation de fruits et légumes à N’Douci au sud de la Côte d’Ivoire, mi-juillet. L’occasion d’assurer un nouveau débouché pour les producteurs de tomates, ananas et mangues de plusieurs régions du pays.
La récolte de 103,2 millions de quintaux est en hausse de 221 % par rapport à la campagne précédente, avec des rendements atteignant les 60 quintaux par hectare. Une bonne pluviométrie et une technicité en hausse expliquent ce très bon résultat.
C’est un fait : l’Afrique subit grandement le changement climatique alors qu’elle n’en est que peu responsable. Les agriculteurs du continent sont souvent les premiers touchés par les dérèglements des saisons. Et toujours guère de solution en vue malgré les beaux discours.
Après Agadir, l’Agence marocaine pour le développement agricole lance un nouveau kiosque coopératif des produits du terroir à Rabat, la capitale politique du Royaume.
Le ministère de l’Agriculture s’est fendu d’un communiqué pour démentir les fausses informations circulant autour de la qualité de la pastèque marocaine. « Notre fruit est parfaitement conforme aux normes de sécurité sanitaire », assure-t-on à Rabat.
Les autorités de Lagos, la ville la plus peuplée du Nigeria – 22 millions d’habitants – promeuvent l’aquaculture en cages pour améliorer la production, augmenter l’offre de poissons et limiter l’importation. Comme ici, dans une ferme de Badagry, au sud-ouest du pays.
Plus de trois millions de palmiers dattiers ont été plantés dans le cadre du Plan Maroc Vert. Dans le même temps, 146 000 hectares d’arganiers ont été réhabilités. Et près de 100 000 emplois ont été créés. Explications.
Grâce aux outils numériques et à la téléphonie mobile, le versement d’aides directes aux agriculteurs qui n’ont pas de compte en banque semble être une voie prometteuse. Ces aides inciteraient les agriculteurs africains à investir, à réduire la pauvreté et à améliorer la sécurité alimentaire. Explications.
Aujourd’hui, 22 avril, c’est la Journée de la Terre. Le jour de rappeler que ce sont les multinationales et les pays riches qui émettent le plus de gaz à effet de serre. Et que ce sont souvent les pays les plus pauvres, notamment en Afrique, qui en subissent les plus graves conséquences. Notamment en agriculture et pour les paysans.
L'État a programmé 4,5 milliards de dirhams en soutien aux investissements agricoles privés en 2021, soit 7 % de plus qu’en 2020. En 2020, 58 % de ces aides ont été distribuées aux exploitations de moins de 10 hectares.
