C’est une bonne nouvelle pour les éleveurs français, mais aussi pour la filière bovine algérienne. Cette réouverture du marché algérien aux génisses françaises aidera à reconstituer un cheptel laitier algérien qui en a bien besoin. Explications.
La 17e édition du Salon méditerranéen des productions animales et de l’élevage, qui se termine ce vendredi 3 décembre, a non seulement bravé la pandémie de Covid-19, mais elle s’est payé le luxe de lancer son premier Pamed Innov.
Le 6 octobre dernier s’est tenue à Paris « L’initiative de Paris pour les forêts d’Afrique centrale ». Objectif : discourir de la préservation de la forêt qui s’étend sur la République centrafricaine, le Cameroun, le Gabon, le Congo et la RDC.
Dans leurs Perspectives agricoles 2021-2030, les deux organisations de développement FAO et OCDE préconisent une transformation des systèmes agroalimentaires mondiaux pour atteindre les objectifs de développement durable (ODD). Explications.
Promotion du semis direct, disponibilité des intrants – semences, engrais, produits de traitement – et accompagnement des agriculteurs figurent au menu de cette nouvelle campagne lancée mi-novembre par le nouveau ministre de l’Agriculture Mohammed Sadiki.
Un rapport du Fonds international de développement agricole prévoit une chute brutale de la production des cultures de base en Afrique d’ici 2050. D’où cet « appel urgent » du Fida à financer l’adaptation climatique, lors de la COP 26 qui s’ouvre le 31 octobre à Glasgow.
À l’instar des autres secteurs, l’agriculture doit respecter l’environnement. Les traitements phytosanitaires, la fertilisation, l’irrigation sont de plus en plus adaptés. Les moteurs des tracteurs deviennent aussi plus « propres » en vue de la réglementation à venir. Explications.
Les destinées des salons agricoles se suivent mais ne se ressemblent pas. Alors que le Space de Rennes a connu une bonne édition, que le Sommet de l’Elevage ouvre ses portes aujourd’hui à Clermont-Ferrand, le Sipsa d’Alger est, lui, reporté à mars 2022. Explications.
La FAO, le PNUD et le PNUE estiment que les subventions actuelles éloignent l’agriculture de ses objectifs environnementaux et sociaux. Selon eux, il faut notamment modifier le soutien apporté à « une industrie laitière et carnée surdimensionnée ».
Des milliards ont été débloqués pour lutter contre la Covid-19. Il en faudrait autant pour développer l’agriculture africaine. Objectif : lutter contre la malnutrition. Elle touche des centaines de millions de personnes sur le continent dont beaucoup de petits paysans.
