Sans la poursuite des échanges commerciaux, la pandémie pourrait « exacerber la faim et la malnutrition, notamment chez les plus pauvres », expliquent les organisations internationales. Elle pourrait aussi déclencher des achats-paniques, des accumulations et des pénuries alimentaires.
Une baisse de la demande et une chute des prix de l’huile font baisser les prix des principaux produits alimentaires en mars. Seul le riz semble résister.
Les animaux sont-ils porteurs du virus ? Peuvent-ils le transmettre ? Que faire avec son animal de compagnie ? L’Office international des épizooties (OIE) apporte des réponses quant à la possible interaction qu’il peut y avoir entre le Covid-19 et les animaux.
Grâce à cette application mise en place par Cargill à compter du 1er avril, les planteurs et leurs familles peuvent se tenir au courant des conseils et des dernières informations sur la sécurité liés au coronavirus.
Au Maroc, les agriculteurs et opérateurs du secteur agricole et alimentaire assurent maintenir leurs activités dans le « respect des conditions sanitaires » imposées par le coronavirus.
L’Association pour le développement des échanges internationaux de produits et techniques agroalimentaires souhaite faciliter les échanges entre ses 225 adhérents en ces temps de crise.
La société Les Eaux Minérales d’Oulmès fournira gracieusement un million de bouteilles d’eau chaque semaine aux hôpitaux publics à travers le Royaume. La Fédération nationale de la minoterie (FNM) fait don, elle, de 50 000 quintaux de farines et de semoules.
L’agriculture est un secteur stratégique. Malgré la crise, les 2,5 milliards d’agriculteurs et d’agricultrices et leurs coopératives continuent à produire des aliments nécessaires à la population. Essentiel.
En cette période éprouvante, les initiatives solidaires se multiplient à travers le royaume. C’est notamment le cas de KLFCom, spécialisée dans les emballages alimentaires.Voici le message de Mehdi Kabbadj, associé-gérant de cette société basée à Casablanca.
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Les opérateurs du secteur meunier, regroupés au sein de la Fédération Nationale de la Minoterie (FNM), rassurent le public marocain sur la capacité du secteur, qui est de plus de 110 Millions de quintaux, pour une demande annuelle de 45 Millions de quintaux.L’ensemble des minotiers au niveau du...
