Quand l’agro-business vire au fiasco
Une fâcheuse histoire d’investissements douteux dans l’agrobusiness, en l’occurrence des plantations d’hévéas et de palmiers à huile, a mis le gouvernement ivoirien en porte-à-faux.
Une fâcheuse histoire d’investissements douteux dans l’agrobusiness, en l’occurrence des plantations d’hévéas et de palmiers à huile, a mis le gouvernement ivoirien en porte-à-faux.
En marge de la 29e conférence régionale de la FAO qui s’est déroulée en avril à Abidjan, un accord tripartite a été signé dans le cadre de la lutte contre la grippe aviaire en Côte d’Ivoire.
Malmenée par la guerre de la fin des années 2000, la filière coton retrouve ses lettres de noblesse. Elle vise la première place africaine et est reconnue comme un modèle par le gouvernement ivoirien. Rencontre avec Tuo Lacina, président d’Intercoton.
C’est le directeur général du Conseil du coton et de l’anacarde (CCA) qui le dit : « En 2015, la Côte d’Ivoire est devenue le premier producteur mondial d’anacardes avec 700 000 tonnes ». Reste que, sur cette production, une faible partie – environ 50 000 tonnes – est transformée localement.